/image%2F1403615%2F20150603%2Fob_0e07ba_logo-jeunes-republicains-meuse-blanc.jpg){kind=logo}
André Glucksmann soutient Nicolas Sarkozy
Le quotidien de gauche Libération évoquait dans un article intitulé « Sarkozy fait des conquêtes chez les ex-intellectuels de gauche » ce mardi 30 janvier, le ralliement de nombreuses personnalités engagées à gauche depuis de nombreuses années. Ainsi, André Gluksmann (un ex nouveau philosophe), Pascal Bruckner (théoricien de la libération sexuelle), Max Gallo (chevènementiste et ministre de Mitterrand), Marc Weitzmann (un ancien des Inrockuptibles) et bien d'autres ont été séduits par le discours du président de l'UMP. De plus, d'autres, déçus par Ségolène Royal, ne sont pas loin de franchir le pas comme le psychanalyste Jacques-Alain Miller ou le cinéaste Romain Goupil.
Dans une entrevue au Figaro le mercredi 31 janvier 2007, le candidat UMP réaffirme qu'il veut dépasser les clivages droite-gauche « Je ne me résoudrai jamais à abandonner les électeurs dont la République a besoin.Ces électeurs les plus populaires, qui se sont sentis abandonnés depuis tant d'années, parce que la gauche ne leur parle plus. Ces électeurs qui se sont tournés vers les extrêmes pour crier leur colère. Ces électeurs de gauche qui ne se reconnaissent plus dans la gauche d'aujourd'hui, qui parle exclusivement aux salariés dotés d'un statut. Enfin, bien sûr, je n'oublie pas les électeurs traditionnels de la droite, qui ont eu tant de fois le sentiment que leurs idées n'étaient pas défendues. Tout cela fait une Nation. C'est à elle tout entière que je veux m'adresser. »
Enfin, Nicolas Sarkozy a redéfini les valeurs de notre camp : le travail, le respect et la responsabilité.
« Au premier rang, je mettrai la valeur travail dont l'oubli résume à mes yeux toute la crise morale française. Le travail a été délaissé par la droite et trahi par la gauche. Les socialistes ne parlent plus des travailleurs, c'est un signe. Je veux être le candidat du travail. C'est ma cohérence et le ciment de mon projet. La deuxième valeur, c'est le respect. L'erreur de mai 68, c'est d'avoir pensé faire le bonheur de l'élève en le considérant comme l'égal du maître. Or, si l'élève a vocation à dépasser le maître, il doit respecter son autorité. Enfin, il y a la valeur de responsabilité. Je considère qu'il n'existe pas de droit sans devoir en contrepartie. »
JD